Violences anti-policières à Nantes / L'UNSA Police demande la dissolution des groupuscules d'extrême-gauche

UNSA Police - 04/05/2016 14:05:00


Cela commence à devenir une triste mais réelle habitude, les groupuscules d'extrême-gauche, «antifas», renforcés par des jeunes de banlieue, se servent des manifestations pour commettre des actes de violences à l'encontre des policiers, cette fois-ci à coups de barre de fer.
Le laxisme et/ou l'incompétence des organisateurs (CGT, FO...) dans l'encadrement des participants faisant le reste.

Le 5 juin 2013, à la suite d'un coup de poing volontaire, survenait la mort involontaire de Clément Méric. S'en était suivi l'incarcération immédiate de son auteur et la dissolution de plusieurs organisations d'extrême-droite.

Aujourd'hui, des goupuscules d'extrême-gauche, renforcés par des jeunes de banlieue, préméditent des violences volontaires à l'encontre des policiers. La seule chose qui soit involontaire ici est le fait que nos collègues soient encore en vie.

Rappelons que des violences volontaires, préméditées, à l'encontre de personnes dépositaires de l'autorité publique dans l'exercice de leurs fonctions s'appellent une tentative d'assassinat.

« Pour l'UNSA Police, il ne peut, dans un État de droit, au sein de notre République, y avoir deux poids, deux mesures.
Les groupuscules activistes d'extrême-gauche doivent être dissous et les responsables de violences anti-police très sévèrement condamnés. »

Philippe Capon, secrétaire général
Le bureau national